Documents pour «mode»

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Affiche du document Fashionista de l’extrême : Audrey en Turquie, 'Le doigt sur la couture'

Fashionista de l’extrême : Audrey en Turquie, 'Le doigt sur la couture'

Audrey Chazal

46min44

  • Documentaire
Après la Birmanie, le Bostwana et l'Ukraine, pour son quatrième fashion trip, Spicee a choisi la Turquie. Un pays en pleine crise politique et identitaire depuis la tentative de coup d’Etat du 15 juillet 2016. Mais cette crise ne date pas de ce putch avorté. Depuis plusieurs années, la Turquie est profondément divisée entre libéraux et conservateurs, religieux et laïcs. Une société schizophrène jusque dans la façon de s’habiller et de faire de la mode. C’est ce qui a attiré Audrey notre fashionista de l’extrême qui parcourt le monde avec une conviction : la mode est le reflet de la société. Et quel meilleur exemple de cette vision que la Turquie ? Là bas, la mode n’est pas qu’une affaire de style. Elle parle de liberté, de politique, de religion et d’interdits… En partant à la rencontre de celles et ceux qui font la mode turque, Audrey découvre bien vite que la censure est partout. Avant même la tentative de coup d’Etat du 15 juillet, personne ne veut se risquer à parler de politique et de religion tant le président élu Erdogan gouverne comme un autocrate et tant les conservateurs ont gagné du terrain. En à peine une dizaine d’années, le pays s’est transformé. Aujourd’hui, deux mondes cohabitent. Pendant son voyage, notre journaliste fait le grand écart entre celles et ceux qui veulent rendre les femmes conservatrices plus « fashions » et celles qui défendent la liberté des femmes à travers leurs créations parfois très osées. Une chose est sûre, la vie n’est pas toujours simple pour les femmes dans le pays. Certaines racontent qu’elles ne peuvent plus s’habiller comme elles le veulent, à cause des regards méprisants et du conservatisme ambiant. D’autres déplorent que les nouvelles lois du gouvernement Erdogan les considèrent « responsables » et non victimes en cas de viols. La Turquie s’islamise rapidement… À travers le prisme de la mode, Audrey dresse le portrait d’une société en perte de repère, dans laquelle la jeunesse est déchirée entre son envie de quitter un pays dans lequel elle suffoque et sa volonté de se battre et continuer à créer pour faire valoir sa liberté de penser.
Forfait
Affiche du document Fashionista de l’extrême : avec Audrey, l’Afrique c’est chic

Fashionista de l’extrême : avec Audrey, l’Afrique c’est chic

Audrey Chazal

46min16

  • Documentaire
Oubliez Londres, Milan et Paris. Audrey a rejoint Gaborone, pour voir comment se portait la mode dans la capitale du Botswana. Un peu plus de 13 heures d’avion pour rejoindre ce pays grand comme la France et peuplé de deux millions d’habitants. Coincé entre le Zimbabwe et l’Afrique du Sud, le Botswana montre l’exemple en matière de fonctionnement démocratique, il est l’un des pays les moins corrompus d’Afrique. Troisième producteur mondial de diamants, on le surnomme la Suisse de l’Afrique. Pourtant, cette prospérité ne met pas le pays à l’abri des calamités. Le sida touche 20% de la population. Le Bostwana est lancé dans une course à la modernité et les habitants s’ouvrent petit à petit. Audrey a un talent : elle met en confiance les gens. Et les « fashionistas » ne font pas exception. De mariages en salons, d’ateliers en défilés, Audrey rencontre ces créatrices qui redessinent les formes du  Mogagolwane, la tenue traditionnelle et façonnent des vestes propres à rendre jaloux les sapeurs congolais.« Very chic ! » s’exclame Audrey, conquise par le talent de ces jeunes femmes qui s’improvisent photographes et maquilleuses pour les besoins d’une séance photo entre brousse et savane. Ces « Divas du style », comme les appelle Audrey, conjuguent charme et audace. Mais point de concours d’élégance aux abords des églises, le poids de la religion reste fort et les robes se portent alors avec quelques centimètres de tissus supplémentaires. C’est à l’université que l’on retrouve une jeunesse « lookée », des apprentis hipsters qui, soit se bricolent des fringues, soit font du shopping dans les centres commerciaux. A Gaborone, l’activité commerciale, les magasins de vêtements se trouvent là, avec des franchises américaines et sud-africaines  Dans la rue, Audrey part essayer la street-food et s’extasie devant ces gens décidément très cool. Comme Koane, l’Isabelle Marant de Gaborone, une styliste enjouée qui propose une mode simple mais pas simpliste,  une sorte de ligne claire ethnique, tout en couleur et en fraicheur.
Forfait

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