Lili a tout quitté pour partir au bout du monde réaliser son rêve : pêcher sur les mers du Nord. Elle persuade Ian, capitaine de chalutier, de lui donner sa chance et s'embarque sur le Rebel. Solitaire et insaisissable, celle que l’on surnomme « moineau » est la seule femme de l’équipage. Mais sous une apparente fragilité Lili est déterminée à aller jusqu’au bout de sa quête et défendre sa liberté.
Un film au caractère bien trempé qui séduit par sa sincérité et ses beaux élans de rude poésie. Le Figaro
Pas bavard mais prenant, « Grand Marin » est un film inspirant et d’une grande justesse sur une femme qui largue les amarres tout en s’accrochant à sa liberté. Le Parisien
Malgré les faiblesses de son scénario, Grand marin mêle habilement scènes documentaires et oniriques en nous emportant dans le vécu d’une femme qui prend le large. Les Fiches Cinéma
Ce que l’on retient avant tout, face à une nature islandaise majestueusement photographiée par le grand Timo Salminen (le chef op habituel de Kaurismäki), c’est la mine butée ou rayonnante, le corps frêle mais résistant, la voix obstinée et cinglante de l’actrice-réalisatrice. Positif
Grand Marin n’est pas qu’un grand film sur la mer. C’est une ode à la féminité, à la résilience et un hommage puissant aux métiers de la pêche. aVoir-aLire.com
Pour évoquer le parcours hors du commun d’une femme mystérieuse et sa quête éperdue à bord d’un chalutier dont elle est la seule à connaître les raisons, Dinara Drukarova, en mer ou sur terre, joue la carte d'un réalisme scrupuleux, quasi documentaire, et tire le meilleur profit des somptueux décors naturels islandais qui abritent les péripéties d'une héroïne ne jurant que par la liberté et l'aventure. Les Echos
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