Italie 1609. Accusé de meurtre, Le Caravage a fui Rome et s’est réfugié à Naples.
Soutenu par la puissante famille Colonna, Le Caravage tente d’obtenir la grâce de l’Église pour revenir à Rome.
Le Pape décide alors de faire mener par un inquisiteur, l’Ombre, une enquête sur le peintre dont l’art est jugé subversif et contraire à la morale de l’Église.
Sa fin tragique éclaire son mythe : le film, malgré une mise en scène banale, est porté par cette histoire de feu, et la puissance de Caravage emporte tout. L'Obs
L’une des forces du film tient à la double reconstitution de scènes bibliques et de vie, dans des couleurs extrêmement fidèles aux toiles du Caravage [...]. Dernières Nouvelles d'Alsace
Placido livre là un biopic intelligent et respectueux. Car plutôt que de verser dans le banal film de cape et d’épée [...], il s’est surtout employé à rendre le côté mystique et écorché vif du personnage, peintre star de son époque avec les caprices et les audaces que cela comporte. Le Figaro
Michele Placido, réalisateur de « Romanzo Criminale », fait entrer dans la vie et la tête du Caravage, manieur de pinceau et d’épée, aussi bien les profanes que les spécialistes. Le Parisien
Un portrait éclaté de l’artiste, mais aussi de la société romaine et des débats esthétiques et théologiques de la Contre-Réforme dans le sillage récent du concile de Trente. Positif
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