Arraché au bush australien alors qu’il n’était qu’un jeune garçon, David Gulpilil va devenir la première icône aborigène sur grand écran.
Partagé entre les traditions de son peuple et les excès hollywoodiens, l’acteur et danseur aux multiples talents nous raconte le voyage extraordinaire qu’a été sa vie.
Un fascinant aperçu de la complexité de ce personnage polymorphe, capable du pire comme du meilleur, à la fois vieux sage aborigène et diablotin occidentalisé. L'Humanité
Méditation sur la mort, le film est à la fois une belle leçon de vie et un poignant portrait d’un homme élégant et empreint de spiritualité. L'Obs
Malgré quelques longueurs, le film de Molly Reynolds parvient à saisir l’esprit de l’homme derrière les personnages, et lui rend un hommage sincère et touchant. Les Fiches du Cinéma
Le film s’avère donc, formatage anglo-saxon mis à part, précieux voire intéressant en ce qu’il enregistre une page de l’histoire du cinéma, à un endroit où celle-ci communique avec l’histoire de l’humanité, de sa diversité menacée, de son uniformisation par la force. Libération
Athlète complet de la culture aborigène qu’il impose à lui seul tout autour du globe, […] [Gulpilil] est également l’exemple tragique de porte-parole d’une communauté opprimée […]. De tout cela, le film rend compte avec justesse et émotion. Positif
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