A la veille d’un vote pour entériner la construction d’un parc de loisirs à la place d’une forêt primaire, un maire de droite décomplexée essaye de corrompre son confrère écologiste.
Mais ils se font piéger par un groupe de jeunes activistes féministes qui réussit à les coller ensemble. Une folle nuit commence alors pour les deux hommes, unis contre leur gré.
Jonathan Cohen est à hurler de rire en macho homophobe, viandard, corrompu, qui se gare sur les places « handicapés », tout comme Vincent Macaigne en écolo hypocondriaque, angoissé, sans concessions, qui tire frénétiquement sur sa pipe électronique. Le Parisien
En même temps participe du rodéo, des montagnes russes. Il est conseillé d’obtenir un rendez-vous chez le médecin à la sortie. Docteur, j’ai mal au ventre. C’est le fou rire qui déclenche ça. Une seconde vision s’impose. La salle pouffe tellement que certains dialogues passent à l’as. Cela s’appelle le second tour. Le Figaro
Avec un sens du rythme et un art de la réplique que n’aurait pas renié Audiard, Kervern et Delépine signent leur film le plus comique. Même si le récit peine à retomber sur ses pattes dans sa dernière partie, cette fable politique, environnementale et féministe rend hommage à l’engagement, dans sa part la plus ludique et la plus grisante. L'Humanité
Cette satire politique, aussi absurde que burlesque, prend toute sa saveur en cette période électorale : [...] les cinéastes poil à gratter égratignent sans complexe les ambitions mal placées et les petits arrangements entre ennemis de ceux qui veulent nous gouverner. Le Journal du Dimanche
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